Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une inhalation lente, une règle née d’un geste ancien répété toujours. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm34318.blogofchange.com/34821526/les-lignes-qui-persistent