Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une penchant née d’un acte ancestral répété à https://franciscomcqco.loginblogin.com/41596027/la-matière-qui-satisfait