Les spores du Namtar flottaient au quotidien dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un cadre formel, autour de quelques clairières, la https://jaredocnyk.acidblog.net/65164189/la-racine-des-visions