La vie des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis devant son bureau, il traçait d’un geste immaculé les archétypes sur le feuille de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre chic. Depuis 2 mois, un phénomène étrange hantait son exercice professionnel : tout matin, tandis que personne n’était https://zanderafhhf.xzblogs.com/74677492/le-sel-de-la-maison-d-ivoire